Craindre la défaite nous la fait voir presque incontournable, alors que, paradoxalement, espérer la victoire ne rend absolument pas cette dernière probable. Nous nous décentrons trop par la pensée. Un ennemi est une force vive, pas une prestation artistique où l’on sollicite des applaudissements à la fin. Nous sommes des monstres. Il faut qu’on se le redise.
Craindre la défaite nous la fait voir presque incontournable, alors que, paradoxalement, espérer la victoire ne rend absolument pas cette dernière probable. Nous nous décentrons trop par la pensée. Un ennemi est une force vive, pas une prestation artistique où l’on sollicite des applaudissements à la fin. Nous sommes des monstres. Il faut qu’on se le redise.
Craindre la défaite nous la fait voir presque incontournable, alors que, paradoxalement, espérer la victoire ne rend absolument pas cette dernière probable. Nous nous décentrons trop par la pensée. Un ennemi est une force vive, pas une prestation artistique où l’on sollicite des applaudissements à la fin. Nous sommes des monstres. Il faut qu’on se le redise.