Qui pourrait m’apprendre à laisser mon être de côté quand je voyage? Il est lourd et pourtant je le traîne comme un bagage excédentaire. Il n’y a que dans le mouvement de l’aller qu’il dort dans la soute, et que j’accomplis ma vie sans penser à mes haines, mes conflits, mes vengeances, mes possessions, réelles ou imaginaires. Je ne sais pas vers qui je vais. Je vais, point. Et allant, je vis. Vivant, je m’arrête.
Qui pourrait m’apprendre à laisser mon être de côté quand je voyage? Il est lourd et pourtant je le traîne comme un bagage excédentaire. Il n’y a que dans le mouvement de l’aller qu’il dort dans la soute, et que j’accomplis ma vie sans penser à mes haines, mes conflits, mes vengeances, mes possessions, réelles ou imaginaires. Je ne sais pas vers qui je vais. Je vais, point. Et allant, je vis. Vivant, je m’arrête.
Qui pourrait m’apprendre à laisser mon être de côté quand je voyage? Il est lourd et pourtant je le traîne comme un bagage excédentaire. Il n’y a que dans le mouvement de l’aller qu’il dort dans la soute, et que j’accomplis ma vie sans penser à mes haines, mes conflits, mes vengeances, mes possessions, réelles ou imaginaires. Je ne sais pas vers qui je vais. Je vais, point. Et allant, je vis. Vivant, je m’arrête.