Je me sens facilement mal à l’aise quand il s’agit de penser aux problèmes des autres que j’aimerais pouvoir régler. Je voudrais toujours régler les malheurs des gens à leur place. Mais mes malheurs à moi sont sans surveillance. Je fais semblant de les ignorer. Donc j’en parle très peu, et donc la plupart de mes amis s’imaginent que je n’en ai pas. C’est un cercle vicieux, car ayant des malheurs sans en parler, je ne me sens pas bienvenu à me pencher sur ceux des autres, comme je disais, et le constat est sévère: rien n’est réglé chez moi, ni chez les autres. Mais au moins j’ai la lucidité de le partager ici.
Je me sens facilement mal à l’aise quand il s’agit de penser aux problèmes des autres que j’aimerais pouvoir régler. Je voudrais toujours régler les malheurs des gens à leur place. Mais mes malheurs à moi sont sans surveillance. Je fais semblant de les ignorer. Donc j’en parle très peu, et donc la plupart de mes amis s’imaginent que je n’en ai pas. C’est un cercle vicieux, car ayant des malheurs sans en parler, je ne me sens pas bienvenu à me pencher sur ceux des autres, comme je disais, et le constat est sévère: rien n’est réglé chez moi, ni chez les autres. Mais au moins j’ai la lucidité de le partager ici.
Je me sens facilement mal à l’aise quand il s’agit de penser aux problèmes des autres que j’aimerais pouvoir régler. Je voudrais toujours régler les malheurs des gens à leur place. Mais mes malheurs à moi sont sans surveillance. Je fais semblant de les ignorer. Donc j’en parle très peu, et donc la plupart de mes amis s’imaginent que je n’en ai pas. C’est un cercle vicieux, car ayant des malheurs sans en parler, je ne me sens pas bienvenu à me pencher sur ceux des autres, comme je disais, et le constat est sévère: rien n’est réglé chez moi, ni chez les autres. Mais au moins j’ai la lucidité de le partager ici.