Un ami c’est une route, un ennemi c’est un mur dit un proverbe chinois. Combien de fois me suis-je arrêté à livrer mon enthousiasme à celui qui savait, sans me le dire, détruire ce que j’avais en tête? J’ai donné ma confiance à plusieurs, plusieurs ont accueilli ce qui sortait de ma tête et prenait vie à partir de l’incréé. Je ne croyais pas mal faire en livrant mes secrets, pas même à voix haute, en toute confiance à un être qui me jurait la sienne. Je ne croyais pas mal faire en figeant dans le silence des paroles que je n’aurais dites qu’à des gens que je connaissais de l’intérieur, de l’ancienneté, de la nuit des temps qui compose l’amitié. Mais je n’aurais pas dû le faire, même si l’ayant fait cela m’a donné des ailes pour les heures qui précédaient la trahison.

Un ami c’est une route, un ennemi c’est un mur dit un proverbe chinois. Combien de fois me suis-je arrêté à livrer mon enthousiasme à celui qui savait, sans me le dire, détruire ce que j’avais en tête? J’ai donné ma confiance à plusieurs, plusieurs ont accueilli ce qui sortait de ma tête et prenait vie à partir de l’incréé. Je ne croyais pas mal faire en livrant mes secrets, pas même à voix haute, en toute confiance à un être qui me jurait la sienne. Je ne croyais pas mal faire en figeant dans le silence des paroles que je n’aurais dites qu’à des gens que je connaissais de l’intérieur, de l’ancienneté, de la nuit des temps qui compose l’amitié. Mais je n’aurais pas dû le faire, même si l’ayant fait cela m’a donné des ailes pour les heures qui précédaient la trahison.

Un ami c’est une route, un ennemi c’est un mur dit un proverbe chinois. Combien de fois me suis-je arrêté à livrer mon enthousiasme à celui qui savait, sans me le dire, détruire ce que j’avais en tête? J’ai donné ma confiance à plusieurs, plusieurs ont accueilli ce qui sortait de ma tête et prenait vie à partir de l’incréé. Je ne croyais pas mal faire en livrant mes secrets, pas même à voix haute, en toute confiance à un être qui me jurait la sienne. Je ne croyais pas mal faire en figeant dans le silence des paroles que je n’aurais dites qu’à des gens que je connaissais de l’intérieur, de l’ancienneté, de la nuit des temps qui compose l’amitié. Mais je n’aurais pas dû le faire, même si l’ayant fait cela m’a donné des ailes pour les heures qui précédaient la trahison.