Je n’ai jamais arrêté de m’en faire. C’est comme pour n’importe quelle discipline: si on ne s’arrête pas, et qu’on travaille sérieusement chaque jour, on s’accroît. Le cycliste qui s’arrête de faire du vélo parce qu’il choisit de se gréyer d’une auto adresse un adieu à son vélo, car sa technique, son équilibre, son agilité parmi les prédateurs routiers vont se perdre dans le confort de sa nouvelle option d’existence. Chaque choix suppose l’abandon d’une force vive. Je n’ai jamais trahi mon vélo. Je ne trahirai jamais mes ennemis.

 Je n’ai jamais arrêté de m’en faire. C’est comme pour n’importe quelle discipline: si on ne s’arrête pas, et qu’on travaille sérieusement chaque jour, on s’accroît. Le cycliste qui s’arrête de faire du vélo parce qu’il choisit de se gréyer d’une auto adresse un adieu à son vélo, car sa technique, son équilibre, son agilité parmi les prédateurs routiers vont se perdre dans le confort de sa nouvelle option d’existence. Chaque choix suppose l’abandon d’une force vive. Je n’ai jamais trahi mon vélo. Je ne trahirai jamais mes ennemis.

Je n’ai jamais arrêté de m’en faire. C’est comme pour n’importe quelle discipline: si on ne s’arrête pas, et qu’on travaille sérieusement chaque jour, on s’accroît. Le cycliste qui s’arrête de faire du vélo parce qu’il choisit de se gréyer d’une auto adresse un adieu à son vélo, car sa technique, son équilibre, son agilité parmi les prédateurs routiers vont se perdre dans le confort de sa nouvelle option d’existence. Chaque choix suppose l’abandon d’une force vive. Je n’ai jamais trahi mon vélo. Je ne trahirai jamais mes ennemis.