Des spécialistes en correction de souvenirs, ça n’existe pas. Si ça existait, il serait question d’une science. Or une science demande une méthodologie et personne jusqu’à présent ne semble avoir proposé une méthodologie pour une correction des souvenirs. Je me risquerais à une réponse courte: quand on garde un mauvais souvenir d’un temps actif de notre vie qui ne devrait pas l’être, on doit peut-être se demander si on n’a pas transformé le bon souvenir en mauvais pour des raisons qu’on se cache à soi-même mais qui correspondent à une vérité brutale, si brutale en fait que nous avons préféré l’enfouir.
Des spécialistes en correction de souvenirs, ça n’existe pas. Si ça existait, il serait question d’une science. Or une science demande une méthodologie et personne jusqu’à présent ne semble avoir proposé une méthodologie pour une correction des souvenirs. Je me risquerais à une réponse courte: quand on garde un mauvais souvenir d’un temps actif de notre vie qui ne devrait pas l’être, on doit peut-être se demander si on n’a pas transformé le bon souvenir en mauvais pour des raisons qu’on se cache à soi-même mais qui correspondent à une vérité brutale, si brutale en fait que nous avons préféré l’enfouir.
Des spécialistes en correction de souvenirs, ça n’existe pas. Si ça existait, il serait question d’une science. Or une science demande une méthodologie et personne jusqu’à présent ne semble avoir proposé une méthodologie pour une correction des souvenirs. Je me risquerais à une réponse courte: quand on garde un mauvais souvenir d’un temps actif de notre vie qui ne devrait pas l’être, on doit peut-être se demander si on n’a pas transformé le bon souvenir en mauvais pour des raisons qu’on se cache à soi-même mais qui correspondent à une vérité brutale, si brutale en fait que nous avons préféré l’enfouir.