On découvre toujours sans se souvenir de ce qu'on a découvert dans le passé. Ainsi, la vie offre cette richesse de l’inédit qu'on croyait réservée à la stricte période de l'adolescence. Ce que j'aime de ces courses, c'est qu'elles sont idiotes, mais que chaque jour, l'appel est de plus en plus frénétique. On croit alors que c'est l'idiotie qui nous convie à un rendez-vous, puis quand on y repense le soir ou le lendemain, à l'heure du recommencement, on s'aperçoit que ce qui était idiot a revêtu un temps de bonheur intense et c'est vers lui qu'on se précipite à nouveau, comme ces enfants lointains qui n'ont jamais cessé de vivre.
On découvre toujours sans se souvenir de ce qu'on a découvert dans le passé. Ainsi, la vie offre cette richesse de l’inédit qu'on croyait réservée à la stricte période de l'adolescence. Ce que j'aime de ces courses, c'est qu'elles sont idiotes, mais que chaque jour, l'appel est de plus en plus frénétique. On croit alors que c'est l'idiotie qui nous convie à un rendez-vous, puis quand on y repense le soir ou le lendemain, à l'heure du recommencement, on s'aperçoit que ce qui était idiot a revêtu un temps de bonheur intense et c'est vers lui qu'on se précipite à nouveau, comme ces enfants lointains qui n'ont jamais cessé de vivre.
On découvre toujours sans se souvenir de ce qu'on a découvert dans le passé. Ainsi, la vie offre cette richesse de l’inédit qu'on croyait réservée à la stricte période de l'adolescence. Ce que j'aime de ces courses, c'est qu'elles sont idiotes, mais que chaque jour, l'appel est de plus en plus frénétique. On croit alors que c'est l'idiotie qui nous convie à un rendez-vous, puis quand on y repense le soir ou le lendemain, à l'heure du recommencement, on s'aperçoit que ce qui était idiot a revêtu un temps de bonheur intense et c'est vers lui qu'on se précipite à nouveau, comme ces enfants lointains qui n'ont jamais cessé de vivre.