C’est le délire, pas les premiers jours, mais disons les premiers mois. Les premiers jours, on a trop de mal à y croire pour mesurer les conséquences de la rupture. Mais une fois revenu du choc, étonné de ne pas en être mort tout à fait, c’est la débandade, la colère, vous savez, les cinq étapes du deuil, mais pas dans l’ordre, c’est anarchique: je ne veux pas admettre, je veux la rappeler, m’excuser, lui demander des précisions sur ce qu’elle a voulu dire, sur ce qu’elle me reproche exactement, et puis le lendemain, ou parfois le même jour, c’est la colère, des idées de me venger, d’appeler ses amies, de monter son univers contre elle. Mais non, je n’ai jamais réellement envisagé de commettre un acte irréparable, ou de me rallier à des prises de position macho comme quoi les femmes sont toutes pareilles, j’ai simplement vécu l’échec de ma relation avec elle.
C’est le délire, pas les premiers jours, mais disons les premiers mois. Les premiers jours, on a trop de mal à y croire pour mesurer les conséquences de la rupture. Mais une fois revenu du choc, étonné de ne pas en être mort tout à fait, c’est la débandade, la colère, vous savez, les cinq étapes du deuil, mais pas dans l’ordre, c’est anarchique: je ne veux pas admettre, je veux la rappeler, m’excuser, lui demander des précisions sur ce qu’elle a voulu dire, sur ce qu’elle me reproche exactement, et puis le lendemain, ou parfois le même jour, c’est la colère, des idées de me venger, d’appeler ses amies, de monter son univers contre elle. Mais non, je n’ai jamais réellement envisagé de commettre un acte irréparable, ou de me rallier à des prises de position macho comme quoi les femmes sont toutes pareilles, j’ai simplement vécu l’échec de ma relation avec elle.
C’est le délire, pas les premiers jours, mais disons les premiers mois. Les premiers jours, on a trop de mal à y croire pour mesurer les conséquences de la rupture. Mais une fois revenu du choc, étonné de ne pas en être mort tout à fait, c’est la débandade, la colère, vous savez, les cinq étapes du deuil, mais pas dans l’ordre, c’est anarchique: je ne veux pas admettre, je veux la rappeler, m’excuser, lui demander des précisions sur ce qu’elle a voulu dire, sur ce qu’elle me reproche exactement, et puis le lendemain, ou parfois le même jour, c’est la colère, des idées de me venger, d’appeler ses amies, de monter son univers contre elle. Mais non, je n’ai jamais réellement envisagé de commettre un acte irréparable, ou de me rallier à des prises de position macho comme quoi les femmes sont toutes pareilles, j’ai simplement vécu l’échec de ma relation avec elle.