L’homme est au bord de sa folie. Il semble que je ne pourrai rien pour lui ce soir, ni demain. Je m’assois, moi-même dans l’expectative rébarbative au plaisir du travail. Mais d’un seul coup je me ravise: ce n’est pas bien, que je me dis, que venu ici je ne fasse pas le travail pour lequel je suis payé, car je dois ramener la joie dans la demeure et non y maintenir la morosité. Une telle pensée souvent suffit à ce que j’accomplisse ma tâche comme s’il devenait impératif d’agir au lieu de penser, de jouir au lieu de souffrir.
L’homme est au bord de sa folie. Il semble que je ne pourrai rien pour lui ce soir, ni demain. Je m’assois, moi-même dans l’expectative rébarbative au plaisir du travail. Mais d’un seul coup je me ravise: ce n’est pas bien, que je me dis, que venu ici je ne fasse pas le travail pour lequel je suis payé, car je dois ramener la joie dans la demeure et non y maintenir la morosité. Une telle pensée souvent suffit à ce que j’accomplisse ma tâche comme s’il devenait impératif d’agir au lieu de penser, de jouir au lieu de souffrir.
L’homme est au bord de sa folie. Il semble que je ne pourrai rien pour lui ce soir, ni demain. Je m’assois, moi-même dans l’expectative rébarbative au plaisir du travail. Mais d’un seul coup je me ravise: ce n’est pas bien, que je me dis, que venu ici je ne fasse pas le travail pour lequel je suis payé, car je dois ramener la joie dans la demeure et non y maintenir la morosité. Une telle pensée souvent suffit à ce que j’accomplisse ma tâche comme s’il devenait impératif d’agir au lieu de penser, de jouir au lieu de souffrir.