C'est pour moi la course du solitaire à la recherche de l'autre solitaire qu'il croisera sans lui parler, sans lui partager la moindre émotion, et pourtant ces deux-là se retrouveront dans la pensée dépourvus de sentiments l'un pour l'autre. Courir rend l'homme aussi heureux que l'animal: il ne devient qu'un corps. Que plusieurs soient au rendez-vous dans le même parc ne signifie rien pour le corps d'un seul être entièrement consacré au travail de ses zones vitales. Nous provenons tous d'un moment extrême dans la jonction des corps physiques.
C'est pour moi la course du solitaire à la recherche de l'autre solitaire qu'il croisera sans lui parler, sans lui partager la moindre émotion, et pourtant ces deux-là se retrouveront dans la pensée dépourvus de sentiments l'un pour l'autre. Courir rend l'homme aussi heureux que l'animal: il ne devient qu'un corps. Que plusieurs soient au rendez-vous dans le même parc ne signifie rien pour le corps d'un seul être entièrement consacré au travail de ses zones vitales. Nous provenons tous d'un moment extrême dans la jonction des corps physiques.
C'est pour moi la course du solitaire à la recherche de l'autre solitaire qu'il croisera sans lui parler, sans lui partager la moindre émotion, et pourtant ces deux-là se retrouveront dans la pensée dépourvus de sentiments l'un pour l'autre. Courir rend l'homme aussi heureux que l'animal: il ne devient qu'un corps. Que plusieurs soient au rendez-vous dans le même parc ne signifie rien pour le corps d'un seul être entièrement consacré au travail de ses zones vitales. Nous provenons tous d'un moment extrême dans la jonction des corps physiques.